Le gâteau du réveillon du nouvel an
Allez, oui, je sais, je ne suis pas en avance, mais bon... je vous le mets quand même, vu que la mère Germain me l'a demandé.
Donc, cette année, comme tous les ans ou presque, on a fêté le passage à la nouvelle année avec un couple d'amis qui, comme nous, ne sont pas fans des soirées où on se couche méga tard et où la musique tue les oreilles. On préfère tous manger des bonnes petites choses et... jouer au Uno. Ainsi, j'ai commencé la nouvelle année en étant 2ème à ce merveilleux jeu de cartes (le seul auquel je sois capable de jouer et qui ne me gonfle pas au bout de 5 minutes...
) ce qui est un exploit... hum, présage de l'avenir ???
D'abord, les monstres gentils :
Vous admirerez au passage la coupe d'Agathe, réalisée par maman et Tim... elle paraît encore plus chipie ainsi, par contre, le blond et les boucles ont disparu... pourvu que ça revienne.
Pour le menu, j'avais fait en entrée du foie gras avec des oignons confits vus l'an dernier en verrines ici et aussi le dessert. C'est de lui que l'on va parler.
Au départ, je n'avais pas trop d'idées, sachant que la seule chose que zhom m'avait demandée c'était... PAS de chocolat. Gloups, euh, ferais-tu une overdose mon chéri ??? Bon, ça commençait déjà pas comme prévu, vu que sorti du chocolat, je sais pas cuisiner grand chose d'autre... M'enfin, finalement, c'est un défi comme un autre. Après inspection du micro congélo de la cuisine, j'ai trouvé un gros paquet de fraises (de chez mamyvette) congelé (et qui me prenait une place monstre, que donc, si je pouvais le liquider, ce serait pas mal...)
J'ai compulsé tous mes bouquins de cuisine... et j'ai allumé mon neuronne de blonde... des fois, je vous jure, il fonctionne... et j'ai décidé de mixer 2 recettes.
Je suis partie sur la base du trianon d'amuse bouche que j'avais déjà fait ici et dessus, j'ai mis une mousse que j'utilise d'habitude pour le bavarois que vous avez déjà vu là. Le tout fut... une tuerie, comme souvent dans ce genre de chose.
Un aperçu du gâteau en entier :
Oui, c'est vrai, il n'est pas décoré... pas fufutte la dadame... je n'ai même pas de petites merdouilles à mettre dessus, et d'un autre coté, je n'avais pas non plus 50 heures... Lorsque je l'ai apporté sur la table, Eloïse a dit, d'un air un peu dépité... "C'est du gâteau au tarama ???" Pas tout à fait ma chérie...
Pour résumer, on a la base en gâteau aux amandes, une couche de croquant (qui ne croquait pas trop) faite de gavottes et de chocolat blanc et ma fameuse mousse de bavarois. Le tout faisant environ 3 500 000 000 calories à la portion... Vous pouvez vous apercevoir également que j'ai investi dans un carré à entremets. Je pense que je vais le rentabiliser rapidement. Il ne me manque plus que le roloïd pour le tour et ce sera pas trop mal.
Vu de plus près :
Il a eu une belle mort, surtout le lendemain, quand nos estomacs avaient digéré tout ce qu'il y avait avant et que, par conséquent, on avait suffisamment faim pour l'apprécier.
Voilà, c'est tout pour ce soir, merci de votre lecture et à bientôt.
Donc, cette année, comme tous les ans ou presque, on a fêté le passage à la nouvelle année avec un couple d'amis qui, comme nous, ne sont pas fans des soirées où on se couche méga tard et où la musique tue les oreilles. On préfère tous manger des bonnes petites choses et... jouer au Uno. Ainsi, j'ai commencé la nouvelle année en étant 2ème à ce merveilleux jeu de cartes (le seul auquel je sois capable de jouer et qui ne me gonfle pas au bout de 5 minutes...
) ce qui est un exploit... hum, présage de l'avenir ???D'abord, les monstres gentils :
Vous admirerez au passage la coupe d'Agathe, réalisée par maman et Tim... elle paraît encore plus chipie ainsi, par contre, le blond et les boucles ont disparu... pourvu que ça revienne.
Pour le menu, j'avais fait en entrée du foie gras avec des oignons confits vus l'an dernier en verrines ici et aussi le dessert. C'est de lui que l'on va parler.
Au départ, je n'avais pas trop d'idées, sachant que la seule chose que zhom m'avait demandée c'était... PAS de chocolat. Gloups, euh, ferais-tu une overdose mon chéri ??? Bon, ça commençait déjà pas comme prévu, vu que sorti du chocolat, je sais pas cuisiner grand chose d'autre... M'enfin, finalement, c'est un défi comme un autre. Après inspection du micro congélo de la cuisine, j'ai trouvé un gros paquet de fraises (de chez mamyvette) congelé (et qui me prenait une place monstre, que donc, si je pouvais le liquider, ce serait pas mal...)
J'ai compulsé tous mes bouquins de cuisine... et j'ai allumé mon neuronne de blonde... des fois, je vous jure, il fonctionne... et j'ai décidé de mixer 2 recettes.
Je suis partie sur la base du trianon d'amuse bouche que j'avais déjà fait ici et dessus, j'ai mis une mousse que j'utilise d'habitude pour le bavarois que vous avez déjà vu là. Le tout fut... une tuerie, comme souvent dans ce genre de chose.
Un aperçu du gâteau en entier :
Oui, c'est vrai, il n'est pas décoré... pas fufutte la dadame... je n'ai même pas de petites merdouilles à mettre dessus, et d'un autre coté, je n'avais pas non plus 50 heures... Lorsque je l'ai apporté sur la table, Eloïse a dit, d'un air un peu dépité... "C'est du gâteau au tarama ???" Pas tout à fait ma chérie...
Pour résumer, on a la base en gâteau aux amandes, une couche de croquant (qui ne croquait pas trop) faite de gavottes et de chocolat blanc et ma fameuse mousse de bavarois. Le tout faisant environ 3 500 000 000 calories à la portion... Vous pouvez vous apercevoir également que j'ai investi dans un carré à entremets. Je pense que je vais le rentabiliser rapidement. Il ne me manque plus que le roloïd pour le tour et ce sera pas trop mal.
Vu de plus près :
Il a eu une belle mort, surtout le lendemain, quand nos estomacs avaient digéré tout ce qu'il y avait avant et que, par conséquent, on avait suffisamment faim pour l'apprécier.
Voilà, c'est tout pour ce soir, merci de votre lecture et à bientôt.